Un escalier, ce n’est pas seulement une commodité, c’est aussi un élément architectural fort. Droit, tournant ou hélicoïdal, le choix est souvent imposé par la configuration de la pièce et l’espace disponible. Voici plein de solutions pour qu’il soit aussi pratique que bien intégré dans votre maison.
Avant toute chose, il est indispensable d’évaluer la place disponible. De ces mesures dépendront le type d’esca- lier : droit, tournant ou hélicoïdal. Ensuite, un degré d’inclinaison agréable est impératif. Trop raide, au dessus de 42°. Il s’apparentera à une échelle et manquera de confort.
Après avoir trouvé l’emplacement de son escalier, sa forme et sa dimension, pour bien budgétiser l’ensemble, il faut prendre en compte le coût de l’escalier. Mais aussi celui de sa pose. Une mezzanine à créer, une trémie à ouvrir… Change la donne côté budget. Assurez-vous aussi du parfait équerrage des murs ainsi que de la solidité du support. Les escaliers se posent sur des sols bois ou béton en adaptant le type de fixation à la nature du sol. Un escalier est fixé en bas au sol, en haut à la trémie et généralement au mur.
L’espace sous l’escalier peut devenir un atout et accueillir des rangements très personnels, comme ici avec cette réserve à bois. Aménagements Leroy Merlin.
Plutôt qu’une banale main courante, vous pouvez transformer cet espace en un véritable jardin suspendu, comme ici. Grillagez la surface entre limon et trémie et suspendez des potées de plantes d’intérieur – Ambiance Leroy Merlin –
Dans l’esprit « échelle de meunier », vous pouvez aussi opter pour une superbe pièce comme celle-ci, en bois brut. Pensez quand même au côté pratique et adoptez un degré d’inclinaison agréable. Trop raide, c’est-à-dire au dessus de 42°, cela s’apparente à une échelle et manquera de confort.