On parle de quoi ?
Personne ne vous en tiendra rigueur, mais sachez que nous utilisons communément le terme « ampoule » pour désigner l’ensemble de la source lumineuse… alors que nous devrions parler de « lampe ». Le mot « lampe », quant à lui, désigne plutôt le luminaire. En réalité, l’ampoule n’est que l’enveloppe, la partie en verre de la lampe. Pour plus de facilité, nous ferons comme tout le monde et nous parlerons d’ampoule pour décrire cette enveloppe en verre et les nombreux autres éléments comme le culot, le plot ou le filament qui la composent.
Ampoules plus écolo en Europe
Dans un souci de réduction de consommation énergétique, les ampoules incandescentes en 2013, puis les halogènes depuis le 1er septembre 2018, ont été interdits à la vente. Même si les fluocompactes (LFC) constituent toujours une solution acceptable, elles ne correspondent plus aux meilleures technologies disponibles. Ce sont donc les LED (Light Emitting Diode) qui, progressivement, vont remplacer toutes les autres technologies.
A chaque pièce son éclairage
Puissance
L’efficacité ou rendement lumineux permet de mesurer le flux lumineux en fonction d’une puissance électrique donnée. Elle est exprimée en lumens par watt (lm/W). Plus elle est importante, plus la lampe émet de lumière pour une même consommation d’électricité.
La température ou couleur de la lumière
Une ampoule peut diffuser soit une lumière chaude, soit une lumière froide, ce qui modifie totalement l’ambiance d’une pièce. Exprimée en degrés Kelvin (K), c’est la « température couleur ». Plus cette température est basse, plus la lumière est chaude et tend vers le jaune (< 4 000 K), plus elle est élevée (> 5 300 K), plus elle froide et tend vers le bleu. Par comparaison, la lumière du jour, très vive, a une température de couleur de 6 400 K.
Article complet sur le bon choix de ses ampoules dans Maisons à Vivre Campagne N°101